Felicity M. Mcphee
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 | | Sujet: Liberté quand tu nous tiens enfin {Libre} Ven 13 Fév 2009, 6:09 pm | |
| • Felicity venait de passer sa matinée de libre entourée de l’avocat de ses parents, du notaire et de l’agent immobilier afin de signer l’accord comme quoi elle pouvait à présent vivre de façon indépendante. A vrai dire elle avait passé toute son enfance élevée par une nurse avec des parents constamment en voyages d’affaires. Elle avait envie de vivre ailleurs de toute façon cela ne changerai rien a ses habitudes mais il fallait passer par la case paperasse puisqu’elle était encore mineur… Elle avait donc entendue par des amis qu’une villa de deux personnes recherchait une colocataire, elle n’avait pas hésité une seconde à contacter les personnes en questions afin d’avoir rapidement quelque part ou prendre son envol. Une fois les papiers signés elle éprouva un certain soulagement, ses parents ne prenaient même pas le temps de savoir ses impressions qu’ils étaient déjà reparti dans la première voiture. Elle reprit le chemin de l’appartement chercher ses affaires le sourire aux lèvres la pluie n’allait surement pas gâcher cette magnifique journée.
• Elle arriva donc devant le portail en fer forgé d’une immense villa à quatorze heures pétante. Après avoir sonné comme une forcenée une bonne dizaine personne ne prenait la peine de répondre, elle fouilla donc dans son sac les clés de la porte. Cela commençait bien, elle était à peine dégager de toute responsabilité qu’elle avait déjà perdu ses affaires. Elle rouspéta pendant quelques minutes et récupéra enfin ces maudites clés au fond de son sac. Elle ouvrit la grille puis la referma derrière elle. Elle trainait ses valises le long de l’allée, des sacs posés dans tout les sens. C’était bizarre que cet endroit soit vide… Mais bon elle avait tellement l’habitude d’être assisté par des maitres d’hôtels ou nurses qu’elle ne connaissait pas le mot « vide » réellement avant cette après midi. Elle essaya de retrouver en vain les clés de la porte dans ce trousseau et l’ouvrit. Elle arriva dans une entrée carrelée énorme qui desservait la cuisine, l’escalier, le salon et quelques pièces qu’elle n’avait pas encore découvertes. Elle laissa ses affaires dans la pièce et avança dans le salon.
• Elle se laissa tomber comme une masse dans le cuir du canapé et se laissa soupirer de joie en regardant autour d’elle. Ca y’est elle y était, enfin son chez soi. Elle apercevait le patio sur le coté qui donnait sur un magnifique jardin malheureusement bien triste par la pluie incessante. Il était pourtant samedi mais elle n’entendait aucun bruit… Elle monta au premier étage découvrant une grosse répartition de chambres, après avoir a peu prés deviné les chambres occupés et celle libre elle trouva la sienne enfin du moins ce qu’elle espérait puis alla chercher un sac afin de commencer a occuper un peu cette buanderie bien vide. | |
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